Comme chaque année, nous célébrons ce Samedi 25 novembre la Sainte Catherine et donc les catherinettes, ces « malheureuses » jeunes femmes qui, malgré leurs 25 ans bien tassés, n’ont toujours pas trouvé un homme qui veuille bien les épouser. Dans notre société on accepte mal le fait de vivre seul de plus quand on est une fille ; on peut avoir le statut social, la beauté, l’intelligence, mais être seule est ressenti comme une tare. Mes chères ladies, si vous êtes l’une d’entre elles, sans doute essayez-vous de vous rassurer en vous disant que vous n’êtes pas seule dans ce cas et que vous trouverez bientôt l’âme sœur. Dans cet article, l’équipe de Superwoman vous en dit un peu plus. Lisez plutôt.
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Le célibat, des clichés à la réalité.
Même en 2017, les vieux clichés perdurent. Dans la culture populaire, il y a encore l’image de la femme célibataire, seule chez elle en pyjama, en pilou, une tisane à la main. Pourtant, les femmes célibataires aujourd’hui n’ont rien de la « vieille fille » ou du « court jupon » ancrés dans la conscience collective. Elles sortent, testent, réinventent, se cherchent et font leur cheminement. Certaines vivent leur célibat comme une période où elles « construisent leur projet de vie et leur indépendance vis-à-vis de leurs parents », d’autres n’y voient « que du bonus » pour leur future vie de couple. Mes charmantes ladies, votre célibat devient donc le moment où vous aurez le plus appris sur vous-même.
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Le poids du regard des autres.
Être célibataire à 25 ans et être une fille est chose difficile de nos jours. Ce que vous entendez de vos amies c’est : « non ; mais attends je ne comprends pas, t’es belle, intelligente, comment ça se fait que tu n’aies pas encore trouvé quelqu’un ? « Alors, toujours célib ? » Elles ont le don de vous agacer Superwomen célibataires, ces petites phrases qui vous sont assénées en permanence. Familles, amis et collègues de boulot, chacun y va de son grain de sel ; du classique « Et les amours ? » au piquant « Tu es trop difficile ».
Une pression sociale en contradiction avec la réalité d’une génération qui aime autrement. Le regard porté sur vous ladies célibataires n’en reste pas moins culpabilisant. « Dans la société, on tient un double discours aux jeunes : celui, à travers la publicité ou les films, que c’est tendance d’être célibataire, et celui qu’il est anormal d’être seule à cet âge », reconnaît Fabienne Kraemer, psychanalyste. Les remarques sur le célibat sont surtout là pour vous rappeler qu’il faut que vous vous dépêchiez ».
Un discours ambigu et stigmatisant, qui ignore « la réalité de ce que vit votre génération » mes adorables ladies. Études plus longues, instabilité au travail, engagement tardif, vous ne suivez pas le même chemin de vos parents. Pourtant, votre célibat est encore vu comme si vous aviez échoué au concours du Couple avec un grand C, cet idéal du vivre à deux érigé en Saint-Graal de l’amour, et le couple comme « quelque chose de plan-plan où il n’y a plus de liberté », là où il n’existe plus aujourd’hui « un modèle de couple ou un modèle de célibat ». Vivre seule ou à deux, ni l’un ni l’autre ne vous convient : un paradoxe typique de votre génération.
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Des célibataires doublement ambiguës !
Moins amoureux, plus exigeants, les célibataires de notre époque vivent ainsi « l’amour sous arnica », selon Fabienne Kraemer. « Ils ne veulent pas souffrir, ils ne veulent pas prendre de risque et ils ont peur de renoncer à l’idée de tous les autres pour le choix d’un seul », lâche cette psychanalyste. Un renoncement en partie dû à l’offre importante de rencontres proposée par des réseaux comme Tinder, selon elle. « Aujourd’hui, je n’ai pas besoin de quelqu’un, j’ai envie de quelqu’un » témoignent certaines d’entre vous. Être en couple n’étant plus vital pour vous mes chères ladies, vous reconnaissez ne pas vous investir plus que nécessaire dans vos relations.
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Le couple reste la norme de notre société.
Malgré l’enthousiasme autour du célibat aujourd’hui, cette situation peut-être encore mal vécue.
Alors que tout est fait pour valoriser ce statut (voire parfois même encouragé) il existe un paradoxe : le couple reste la norme de notre société, et qui dit norme, dit pression sociale (implicite ou explicite) pour la faire imposer. Certaines d’entre vous Superwomen célibataires, vous sentez donc stigmatisées par la société ainsi que par votre entourage. Vous subissez une pression sociale indéniable, qui s’intensifie au fur et à mesure que vous approchez la trentaine. Les dîners de Noël (on s’en approche à grands pas), moments privilégiés pour vos bilans en famille, peuvent être vécus comme une véritable épreuve : questionnées sur le mariage et vos envies d’enfants, il est parfois difficile pour vous de vivre votre célibat de manière complètement sereine et assumée. Il n’est pas « normal » à votre âge, de ne pas être en quête d’un partenaire, car dans l’imaginaire collectif, l’horloge biologique devrait être votre unique priorité.
Moi g 37 ans. Je suis celibataire définitive. Et même m habiller féminine ne sert à rien. Ca se voit trop que je suis vieille. Dc je me laisse aller. Je fais tout pour ne plus plaire
Hello bella ! Tout réside dans la confiance en soi. Je vous conseillerai de prendre soin de vous et d’oublier votre âge et de vivre pleinement. Il n’y a pas d’âge en amour et vous verrez que vous attirerez naturellement les belles personnes. Les gens ressentez le manque de confiance ou d’estime en soi. Souriez à la vie, prenez soin de vous et le reste viendra naturellement 😉 Et une dernière chose : profitez car l’on a qu’une vie. Vous ne le regretterez jamais 🙂
C une grosse illusion. Qui voudra d une vieille de 38 ans sérieux !?!?
Bonjour,
A cela je répondrais, il n’y a pas d’âge pour l’amour 😉