C’est connu de toutes les mamans, à l’âge de 3 ans, les enfants ayant appris à parler commencent à poser beaucoup de questions et certaines sont, et c’est le moins qu’on puisse en dire, embarrassantes ! Mes chères ladies, pour vous aider à apporter des réponses satisfaisantes à leurs interrogations, l’équipe de Superwoman vous révèle 7 astuces qui ont fait leurs preuves ailleurs. Aperto libro !
1- Ecoutez toujours bien ce que demande votre enfant
C’est la règle absolue, mais c’est plus facile à dire qu’à faire Mesdames. À une époque où les distractions ne manquent pas, où votre regard est constamment happé par un écran et votre esprit sollicité par une information, il n’est pas aisé d’accorder de l’attention à votre enfant au moment du petit-déjeuner ou après une longue journée de boulot. Mais c’est en écoutant attentivement ses questions que vous pourrez mieux comprendre ce qui taraude son esprit et donc apaiser ses angoisses.
2- Essayez de comprendre ce qu’il veut savoir
Mes braves ladies, souvent la question que pose votre enfant exprime non seulement de la curiosité, mais également une angoisse, surtout quand il arrive à l’âge des questionnements de type « métaphysiques ». Avant de lui répondre, essayez de comprendre ce qu’il vous demande exactement. Parfois, il connaît déjà la réponse et cherche simplement à confirmer son hypothèse.
3- Ne lui mentez surtout pas
Quelle que soit la question que vous pose votre enfant, évitez à tout prix de recourir au mensonge ou à la dissimulation. Il n’y a rien de pire pour humilier votre enfant ou saboter sa confiance en vous. Il est essentiel que votre enfant sente que vous le considérez comme une personne à part entière malgré son jeune âge. Et tenez-le pour dit : ces petits êtres sentent et comprennent bien plus de choses qu’on ne le pense.
Si vous tentez par exemple, à tout prix de cacher à votre enfant le fait qu’il y’a de l’eau dans le gaz avec votre conjoint, vous pouvez vous attendre à ce qu’il dise quelque chose ou vous pose une autre question à ce sujet ☺
4- Encouragez-le au maximum à s’exprimer
« Et toi, qu’en penses-tu ? » est une bonne manière d’engager la discussion avec votre enfant qui vous demande quelque chose. Cela vous permet aussi de comprendre comment il a entendu parler du sujet sur lequel il vous interroge, et donc de pouvoir adapter votre réponse chères ladies.
5- Sachez aussi quand il le faut, remettre votre enfant à sa place
L’enfant n’a pas le droit de tout savoir et il faut parfois savoir lui faire comprendre que certains sujets ne le concernent pas.
Par exemple votre enfant vous interroge au sujet des disputes que vous avez avec votre conjoint, faites-lui comprendre gentiment mes braves ladies que vous n’avez pas de comptes à lui rendre. Ce qui se joue dans la relation entre vous, ses parents ne le regarde qu’à partir du moment où il est concerné. N’hésitez donc pas à lui dire non quand ses questions expriment une curiosité déplacée. C’est essentiel.
6- Tachez de comprendre pourquoi tel ou tel sujet vous gêne
Il se peut que votre enfant vous pose une question qui vous interpelle, vous gêne, bref, vous mette en difficulté Superwoman. Apprenez à comprendre pourquoi ce sujet-là vous embarrasse plus qu’un autre. Pourquoi avez-vous du mal à mettre des mots dessus ? Très souvent cela a quelque chose à voir avec des histoires enfouies dans votre subconscient. Comprendre les mécanismes qui sont à l’œuvre vous permettra certainement de mieux vous connaître et vous aidera probablement à donner la bonne réponse à votre enfant.
7- Dites à votre enfant ce que vous ressentez
Il ne sert à rien Mesdames, de prendre un ton détaché, voire docte, pour aborder certains sujets « difficiles » avec votre enfant. À l’instar de la mort, par exemple. Vous avez tout à fait le droit de montrer vos émotions à votre enfant.
Dans le cas du décès d’un proche par exemple, ne vous forcez surtout pas à dissimuler votre chagrin, au contraire, dites à votre enfant que vous êtes triste ; exprimez ce que vous ressentez. Cela apprendra à votre enfant à reconnaître ses propres émotions et à comprendre que vous, comme lui, pourrez être triste, mais qu’il faudra à chaque fois le surmonter.