Cette année, à l’occasion de la fête de musique, l’équipe de Superwoman a choisi de ramener à votre mémoire mes adorables cinéphiles, 10 films qui auront marqué nos esprits et qui, aujourd’hui encore peuvent combler nos envies cinématographiques.

1- Le Parrain, de Francis Ford Coppola

fête-parrainEh bien, si Stanley Kubrick l’a décrit comme « probablement le plus grand film jamais fait », qui dirait le contraire mes adorables cinéphiles ? Un film de gangster de Francis Ford Coppola redéfini et adapté du roman sur la mafia de Mario Puzon. Il se trouve à la jonction entre le cinéma  » classique  » et le cinéma  » moderne  » ; il se sent respectablement vénérable, tout en étant à la fois vibrant et vital. Non pas une relique cinématographique sèche que l’on se sent obligé de s’incliner devant, mais un dieu vivant, au sang chaud, que l’on embrasse.

2- Les Affranchis, de Martin Scorsese

fête-affranchisLà où Coppola nous a entraînés dans la politique de l’élite mafieuse mes chères ladies, Martin Scorsese nous a entraînés dans le monde traître mais séduisant des fantassins de la mafia. Et son honnêteté a eu autant d’impact que ses explosions soudaines de violence (généralement provoquées par Joe Pesci). Pas seulement par le récit d’Henry Hill (Ray Liotta), mais aussi par la perspective de Karen (Lorraine Bracco) : quand Henry lui donne une arme à cacher, elle admet, « Ça m’a excité ».

3- Le Seigneur des anneaux, de Peter Jackson

fête-seigneur-anneauxA part Boromir, Aragorn et les habitants des petites villes de Bree, il n’y a pas beaucoup de représentation humaine dans la communauté de l’anneau. Ainsi, l’un des plaisirs des Deux Tours est de voir la Terre du Milieu s’ouvrir véritablement après l’arrivée à Rohan, où la série prend une allure plus nordique et balayeuse…… Construire, bien sûr, jusqu’au profond timon, un crescendo d’action féroce qui met en scène des scènes gratuites de lancer de nains.

4- Matrix, de Lana et Lilly Wachowski

cinema-matrixComment deux frères et sœurs cinéastes indépendants n’ayant à leur nom qu’un petit film policier lisse et sexy (Bound) ont créé leur propre franchise de science-fiction à succès ? Matrix a ouvert les auditoires occidentaux à la vérité que les acrobaties de kung-fu sont tellement plus amusantes que de regarder des hommes musclés américains ou européens brandissant des fusils ! Oui, mes Superwomen, tout en amenant tout le monde à se poser des questions philosophiques fondamentales sur la réalité. Grâce aux Wachowskis, nous avons tous pris la pilule rouge, et nous ne l’avons jamais regretté depuis.

5- Titanic, de James Cameron

cinema-titanicJames Cameron ne fait pas les choses à moitié, n’est-ce pas mes adorables cinéphiles ? Son film sur le naufrage du plus grand paquebot de croisière du monde en 1912 et qui était le plus cher, a subi un tournage difficile et un dépassement, et on prédisait qu’il s’agirait d’un flop mettant fin à sa carrière. Mais il s’est avéré être l’un des films les plus réussis jamais réalisés (en termes de box-office et de récompenses), faisant de son réalisateur le « roi du monde ».

6- Autant en emporte le vent, de Victor Fleming

cinema-autant-emporte-ventEn Georgie, en 1861, Scarlett O’Hara est une jeune femme fière et volontaire de la haute société sudiste. Courtisée par tous les bons partis du pays, elle n’a d’yeux que pour Ashley Wilkes malgré ses fiançailles avec sa douce et timide cousine, Mélanie Hamilton. Scarlett est pourtant bien décidée à le faire changer d’avis, mais à la réception des Douze Chênes c’est du cynique Rhett Butler qu’elle retient l’attention… Certaines d’entre nous s’y reconnaissent d’ailleurs mes charmantes ladies… N’est-ce pas ?

Scarlett O’Hara (Vivien Leigh), Rhett Butler (Clark Gable) ou l’un des baisers les plus torrides du septième art… Avec huit Oscars à la clé !

7- L’exorciste de William Friedkin

films-exorcisteLe chef-d’œuvre d’horreur des années 70 de William Friedkin , dans lequel une fillette de 12 ans est possédée par un démon, a la réputation d’être un choc Mesdames (dans le bon sens du terme), les moments les plus remarquables étant le vomi de soupe aux pois, le tournoiement de tête et l’abus de crucifix. Mais la raison pour laquelle il se refroidit si profondément, c’est la façon dont il entretient et construit son atmosphère inquiétante avec tant d’habileté et de constance tout au long du processus.

8- Le bon, la brute et le truand, de Sergio Leone

films-bon-brute-truandSergio Leone dresse trois renégats les uns contre les autres dans une chasse au trésor sur fond de chaos et de folie de la guerre civile américaine. Le résultat est le film qui équilibre au mieux l’art et le divertissement. Clint Eastwood et Lee Van Cleef sont d’une grande valeur en tant que Blondie et Angel Eyes, mais c’est Eli Wallach’s Tuco qui vole ce spectacle Wild West : « Quand tu dois tirer, tire. Ne parle pas.« 

9- La belle et la bête, de Jean Cocteau

films-belle-beteCe film fantastique, réalisé par Jean Cocteau, sorti sur les écrans à Paris le 29 octobre 1946 ; et qui s’inspire du conte de fées du même nom.

Fille cadette d’un riche marchand, Belle (Josette Day), une jeune fille harcelée par ses sœurs ; Félicie (Mila Parély) et Adélaïde (Nane Germon), demande à son père de lui rapporter une rose. Sur le chemin du retour, celui-ci s’égare dans la forêt. Le lendemain matin, il cueille une fleur, ce qui provoque la colère de la Bête (Jean Marais), monstre à corps d’homme et tête de lion et doté de pouvoirs magiques qui vit reclus dans son château. En compensation de la fleur cueillie, la Bête réclame le sacrifice du marchand ou de l’une de ses filles. Belle accepte de se sacrifier et s’en va vers le château…

10- Gladiateur, de Ridley Scott

cinema-gladiateurCe film avait signé le retour de Ridley Scott (après une mauvaise descente, avec White Squall et G.I. Jane). La grande percée de Russell Crowe à Hollywood. Et, grâce à la portée de l’ambition visuelle de Scott combinée à un bond en avant dans la qualité CGI, le film qui a montré à l’industrie que l’on pouvait faire des épopées historiques colossales commercialement viables une fois de plus. Oui, nous avons été diverties mes adorables cinéphiles.☺

 

« Des goûts et des couleurs, il ne faut pas en discuter », c’est bien connu ! Notre sélection n’est certainement pas exhaustive, certaines absences pourront étonner, comme certaines présences d’ailleurs , mais n’est-ce pas donc la nature d’une sélection ? Elle a la particularité d’être exclusive… Alors, à vos « rétro vidéos » Mesdames et faites-vous plaisir !  

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